Mon mari et moi-même avons perdu notre fille Hannah Noelle le 3 février, 2003. Hannah est mort-né dû à une infection aigu au Streptocoque de type B.
J'ai était testé à 37 semaines de gestation et les résultats sont apparus positif. Le docteur m'a dit de ne pas m'inquiéter, j'aurais seulement besoin d'antibiotiques et que tout irait bien. Je suis enceinte de 41 semaines, lorsque le docteur décide de faire des examens et de décoller les membranes, dans le but de déclencher le travail, sans au préalable me demander la permission. C'était un vendredi 30 janvier, il m'a dit de rentrer à la maison, d'avoir des relations intimes avec mon mari et d'attendre que le travail commence, ou bien de revenir le lundi suivant pour être admise en soin. Le week-end passa, le travail n'avait pas commencé, je me suis donc rendu, lundi matin, à l'hôpital... après un check-up, on m'annonça que ma fille n'était plus de ce monde.
J'était suspendu au son continu et linéaire du monitor cardiaque de ma fille. J'ai dû m'efforcer de faire le travail pendant 12h pour enfin pouvoir la tenir, le corps sans vie.
Je n'ai eu aucune explications, durant les 4 premières semaines suivants l'accouchement, sur les causes du décès de mon enfant. Ensuite l'autopsie révéla que la mort fœtale intra-utérine était attribuée à l'apparition soudaine d'une maladie aiguë, le streptocoque de type B, provoquant un sepsis (empoisonnement du sang).
L'infection a été localisée dans un échantillon sanguin provenant du cœur, C'est peu commun pour un bébé exposé au strep B, de ne trouver traces de cette bactérie qu'uniquement dans le sang. D'habitude d'autres symptômes tels que des poumons endommagés, ou traces d'infection dans le placenta et liquide amniotique de la mère sont décelés, spécialement si le bébé était infecté sur une une longue durée. Le placenta a été infecté mais les analyses ont attribué cette infection à un échange vaginale, ce qui signifie que l'exposition a était courte et a seulement affecté son sang.
Cela me pousse à croire donc, que c'était la faute du docteur. En décollant la membrane de la poche des eaux, Il a laissé le champs libre, la porte ouverte, à toutes infections, maladies. Il aurait dû savoir, au vue de mes analyses positives au strep B, que décoller les membranes auraient des conséquences sur mon bébé. Mais il m'a assurait que ce n'était pas important. "Ne vous inquiétez pas, vous aurez des antibiotiques et tout se passera bien". On est tellement loin du "tout se passera bien", que j'en ai la gorge nouée. J'avais également demandé le test d'un échantillon d'urine, requête qui m'a tout simplement était refusé, pour la simple et plus ou moins bonne raison, que je serais sous antibiotiques durant l'accouchement.
Nous avons le sentiment, avec mon mari, que si le docteur nous avait fourni plus d'informations sur le Strep B, on aurait été mieux préparé, et peut être fait différents choix concernant les soins administrés. Peut être qu'à l'heure d'aujourd'hui, mes seules soucis aurait été de changer la couche d'Hannah ou d'être sûre que son lait ne soit pas trop chaud, au lieu de témoigner sur ce site.
On se consacre aujourd'hui à faire connaitre cette maladie qui peut détruire des vies, La nôtre ne sera jamais plus la même.
— Maman d'Hannah, USA
— Père d'Hannah co-fondateur GBSI.
J'ai était testé à 37 semaines de gestation et les résultats sont apparus positif. Le docteur m'a dit de ne pas m'inquiéter, j'aurais seulement besoin d'antibiotiques et que tout irait bien. Je suis enceinte de 41 semaines, lorsque le docteur décide de faire des examens et de décoller les membranes, dans le but de déclencher le travail, sans au préalable me demander la permission. C'était un vendredi 30 janvier, il m'a dit de rentrer à la maison, d'avoir des relations intimes avec mon mari et d'attendre que le travail commence, ou bien de revenir le lundi suivant pour être admise en soin. Le week-end passa, le travail n'avait pas commencé, je me suis donc rendu, lundi matin, à l'hôpital... après un check-up, on m'annonça que ma fille n'était plus de ce monde.
J'était suspendu au son continu et linéaire du monitor cardiaque de ma fille. J'ai dû m'efforcer de faire le travail pendant 12h pour enfin pouvoir la tenir, le corps sans vie.
Je n'ai eu aucune explications, durant les 4 premières semaines suivants l'accouchement, sur les causes du décès de mon enfant. Ensuite l'autopsie révéla que la mort fœtale intra-utérine était attribuée à l'apparition soudaine d'une maladie aiguë, le streptocoque de type B, provoquant un sepsis (empoisonnement du sang).
L'infection a été localisée dans un échantillon sanguin provenant du cœur, C'est peu commun pour un bébé exposé au strep B, de ne trouver traces de cette bactérie qu'uniquement dans le sang. D'habitude d'autres symptômes tels que des poumons endommagés, ou traces d'infection dans le placenta et liquide amniotique de la mère sont décelés, spécialement si le bébé était infecté sur une une longue durée. Le placenta a été infecté mais les analyses ont attribué cette infection à un échange vaginale, ce qui signifie que l'exposition a était courte et a seulement affecté son sang.
Cela me pousse à croire donc, que c'était la faute du docteur. En décollant la membrane de la poche des eaux, Il a laissé le champs libre, la porte ouverte, à toutes infections, maladies. Il aurait dû savoir, au vue de mes analyses positives au strep B, que décoller les membranes auraient des conséquences sur mon bébé. Mais il m'a assurait que ce n'était pas important. "Ne vous inquiétez pas, vous aurez des antibiotiques et tout se passera bien". On est tellement loin du "tout se passera bien", que j'en ai la gorge nouée. J'avais également demandé le test d'un échantillon d'urine, requête qui m'a tout simplement était refusé, pour la simple et plus ou moins bonne raison, que je serais sous antibiotiques durant l'accouchement.
Nous avons le sentiment, avec mon mari, que si le docteur nous avait fourni plus d'informations sur le Strep B, on aurait été mieux préparé, et peut être fait différents choix concernant les soins administrés. Peut être qu'à l'heure d'aujourd'hui, mes seules soucis aurait été de changer la couche d'Hannah ou d'être sûre que son lait ne soit pas trop chaud, au lieu de témoigner sur ce site.
On se consacre aujourd'hui à faire connaitre cette maladie qui peut détruire des vies, La nôtre ne sera jamais plus la même.
— Maman d'Hannah, USA
— Père d'Hannah co-fondateur GBSI.
Pour en apprendre plus sur Strep B et ses rumeurs, cliquer ICI.
Pour en apprendre plus sur Signes & Symptomes de l'infection, cliquer ICI.
Pour en apprendre plus sur Pourquoi les membranes ne devraient pas être décollées, clique ICI.
Pour en apprendre plus sur Comment aider son enfant face au Strep B, cliquer ICI.
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